Revue de presse internet : VRAI OU FAUX. L’intelligence artificielle peut-elle remplacer un avocat ?

Voici l’essentiel d’un post que je viens de remarquer sur internet. Le thème va résolument vous ravir. Car le thème est « la justice ».

Le titre (VRAI OU FAUX. L’intelligence artificielle peut-elle remplacer un avocat ?) est parlant.

Sachez que le journaliste (identifié sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez donc donner du crédit à cette publication.

L’article original mentionné :


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Durée de la vidéo : 4 min


VRAI OU FAUX. L’intelligence artificielle peut-elle remplacer un avocat ?

VRAI OU FAUX. L’intelligence artificielle peut-elle remplacer un avocat ? –
(France 2)

Article rédigé par

France 2

A. Crouts, A. Gras, A. Canestraro

France Télévisions

L’application payante « iAvocat » propose de répondre à vos questions juridiques grâce à l’intelligence artificielle. Cependant, les réponses qu’elle propose sont très similaires à celles de la version gratuite ChatGPT. Des réponses qui peuvent d’ailleurs s’avérer parfois complètement fausses.

L’application « iAvocat » promet de rivaliser avec n’importe quel avocat. En quelques clics, elle assure répondre à vos questions juridiques grâce à l’intelligence artificielle. Lancée début janvier, elle a été téléchargée plus de 50 000 fois d’après son créateur. L’application payante copierait-elle un programme d’intelligence artificielle disponible gratuitement, comme le disent des internautes ? En posant la même question sur une procédure de divorce à la version gratuite de ChatGPT et à iAvocat, « les formulations sont très similaires », note Alexis Figiel, consultant en innovation et spécialiste en intelligence artificielle.

Son créateur affirme travailler sur une nouvelle version

Des réponses presque calquées sur des outils gratuits en ligne, et qui peuvent parfois s’avérer complètement fausses, comme le constatent deux avocats qui se sont prêtés au jeu. Son créateur, Issam Reghi, explique que le slogan de l’application, censée remplacer un avocat, était surtout destiné à faire du buzz. Il ne supprimera pas son application, car il affirme déjà travailler sur une version plus performante pour être complémentaire au travail des juristes.

Parutions:

Droit constitutionnel,(la couverture) .

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